Nightmare City
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 Sometimes bad things happen to good people (UC)

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2 participants
AuteurMessage
Jackson Rippner

Jackson Rippner


Messages : 21
Date d'inscription : 02/07/2010
Age : 40
Localisation : l'Hôtel-Dieu
Emploi/loisirs : mercenaire
Humeur : sarcastique

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MessageSujet: Sometimes bad things happen to good people (UC)   Sometimes bad things happen to good people (UC) Icon_minitimeSam 9 Avr - 16:08

Nom : Rippner
Prénom : Jackson
Alias (le cas échéant) : //
Age : 32 ans
Profession/activité : mercenaire et tueur à gages
Mensurations : (Malheureusement, ça, j'ai pas eu droit ...)

Format de votre histoire de référence (livre, film, série …) : film
Titre : Red Eye
Auteur/producteur : Wes Craven
Année de production / d'écriture : 2005
Intrigue : (min 5 lignes)
    Lisa Reisert a une peur bleue de l'avion, mais l'horreur qui l'attend sur ce vol de nuit pour Miami n'a rien à voir avec sa phobie. Alors qu'elle prend place dans l'engin, elle est agréablement surprise de retrouver Jackson, le charmant jeune homme avec qui elle a pris un verre avant l'embarquement. Cependant, quelques instants après le décollage, ce dernier tombe le masque et révèle la vraie raison de sa présence à bord : il participe à un complot visant à tuer le secrétaire adjoint à la sécurité nationale...et Lisa est la clef de son succès. Si elle refuse de coopérer, son propre père sera éliminé par un tueur qui n'attend qu'un appel de Jackson.


Apparence physique : (min 6 lignes)
    Lorsque l'on rencontre Jackson Rippner pour la première fois, l'image que l'on retient de lui est celle d'un golden boy, oisif, nonchalant et infiniment crispant. De fait, l'héritier majoritaire de la Rippner Corporation, du haut de son mince mètre soixante-quinze sanglé dans d'impeccables costumes de créateur, avec son foulard noué autour du cou, sa mèche brune qui retombe paresseusement devant ses yeux d'un bleu éclatant et son inamovible demi-sourire supérieur vissé au coin des lèvres, a tout de l'arrogant fils à papa pour qui tout a toujours été servi sur un plateau d'argent, et qui trouverait encore moyen de se plaindre du service. Jackson est bel homme et le sait, n'hésitant pas à en jouer pour arriver à ses fins, autant que pour son plaisir. S'il n'est pas excessivement fort, il est en revanche très résistant à la douleur et à l'effort (et il faut dans son métier !), et possède quelques connaissances en close-combat. Difficile de croire que ce flambeur impénitent, doublé d'un alcoolique aussi invétéré que distingué, est non seulement l'intransigeant et très efficace propriétaire de la moitié de Redemption et de ses alentours, mais également l'un des tueurs à gages les plus efficaces et les plus recherchés du pays...

Gouts et dégouts : (min 7 lignes)
    Jackson est un "control freak" : il a un besoin presque viscéral de planifier, contrôler, manipuler son entourage. Son métier lui offre cette possibilité de tirer les ficelles de sa victime comme d'un pantin, jusqu'à l'amener là où il le souhaite, comme un marionettiste. Pour un contrat, il n'a pas hésité à suivre et observer sa cible pendant six semaines avant de passer à l'action. S'il est effectivement payé pour tuer -- et que l'acte en soi ne le dérange pas outre mesure -- ce n'est pourtant pas son intérêt premier. Ne serait-ce que parce qu'une cible vivante rapporte plus, et puis c'est plus intéressant... plus amusant également. A part ça, Jackson est un amateur de littérature et de musique, ne dédaigne pas un repas fin ni un bon vin ou un alcool de bonne venue (particulièrement un whiskey irlandais), s'intéresse volontiers à l'art en dilettante, avec une préférence pour les impressionnistes (Degas et Monet notamment) et les Pré-Raphaélites, ou bien certains maîtres flamands... bref, on sent qu'il a un certain background culturel. Il déteste cordialement tout ce qui ressemble de près ou de loin à l'autorité, préférant travailler en free-lance, et ne supporte pas qu'on lui résiste -- tout en trouvant un manque de réaction parfaitement inintéressant et ennuyeux. Enfin, c'est un solitaire, qui travaille en solo -- ou bien en position dominante, avec des sous-fifres, mais sans partenaire. Sa plus grande angoisse est celle de n'avoir plus aucun contrôle, surtout sur sa propre vie. Depuis la fâcheuse rencontre de sa gorge avec un stylo, il a également un mouvement de recul instinctif dès que quelque chose de pointu approche son cou à moins d'un certain nombre de centimètres.

Qualités/défauts : (min 7 lignes)
    Intelligent, patient, minutieux, observateur, organisé, discipliné, Jackson est également quelqu'un de raffiné, de cultivé, de délicat, ayant reçu une excellente éducation, et possédant un large éventail de connaissances qui lui permettent de tenir une conversation en société sur un grand nombre de sujets aussi divers que variés. Galant quand il le veut, il est également séduisant (si ! si !), charmeur et charismatique. L'un dans l'autre, il est capable d'être un compagnon tout à fait agréable... quand ça l'arrange. Possédant un grand contrôle sur lui-même, il sait fort bien maîtriser ses nerfs, que son métier soumet généralement à rude épreuve, et possède un flegme, sinon indégondable, tout au moins suffisamment solide pour lui permettre d'affronter la plupart des situations. Jackson est un sociopathe. Ce qui signifie, en termes pratiques, qu'il oppose une totale indifférence aux normes sociales et aux codes culturelles et un froid mépris aux droits et émotions des autres. Il dispose d'une capacité limitée à ressentir des émotions humaines, aussi bien à l'égard d'autrui que de lui-même, et donc fait preuve d'un manque flagrant d'empathie. C'est un prédateur, manipulateur, violent et narcissique, en recherche constante de quelque chose -- un frisson, une sensation de plénitude -- qui pourrait lui permettre de compenser son vide émotionnel intérieur. Incapable de supporter la frustration, de se conformer aux normes sociales et à plus forte raison aux lois, volontiers agressif, affichant un dédain complet pour sa sécurité et celle des autres, il fait preuve d'une absence totale de remords ou de culpabilité quant à ses actes... C'est également un maniaque du contrôle, à un point presque obsessionnel. Il est enfin fier, orgueilleux, vindicatif et volontiers arrogant avec ceux qu'il considère ses inférieurs - et vaguement insolent car volontiers sarcastique avec ses supérieurs.


Signe(s) particulier(s) :
    Une vilaine cicatrice à la gorge, semblable à celle d'une trachéotomie loupée, qu'il dissimule toujours sous une écharpe ou un foulard. Quelques cicatrices de balles ici et là, récoltées au fil des contrats.

Équipement ou armes notables :
    un beretta 9mm à silencieux, un fusil à pompe 870 remington planqué sous le bureau, et un cran d'arrêt automatique attaché à sa cheville droite.


Histoire personnelle : (min 20 lignes) 
    Né le 26 mai 1983 à San Diego, Californie, Jackson Rippner est le fils du magnat de l'industrie James Rippner, et de sa première épouse, Rita-Mae Swinburne, devenue entretemps Mrs Sainclair. Enfant au caractère difficile, il est dès son plus jeune âge confié à diverses baby-sitters, nurses, jeunes filles au pair... qu'il prendra un malin plaisir à faire fuir. Source de discorde supplémentaire entre ses parents dont le mariage ne tient plus qu'à un fil, il assiste à l'âge de sept ans à leur divorce et sera ensuite ballotté entre San Diego, villégiature de sa mère, et San Francisco, où vit son père. Celui-ci se remarie trois ans plus tard, et Jackson a alors la désagréable surprise de se retrouver "grand frère" d'une espèce de... chose... répondant -- parfois -- au nom de James Rippner Jr. Sa mère, elle, se remarie encore un peu plus tard, mais n'aura pas d'autre enfant avant que Jackson n'ait quinze ans -- une fille, Jezebel, avec qui, bizarrement, Jackson semble s'entendre à peu près et qui éveille une vague lueur d'intérêt chez lui.
    Adolescent rebelle, qui exaspère ses parents, use ses professeurs et devient une figure incontournable des différents lycées qu'il fréquente -- et dont il se fait virer successivement pour insolence, comportement violent, indécence, "fornication" dans le labo de chimie et enfin pour avoir mis le feu aux locaux -- Jackson est en perpétuelle opposition avec l'autorité, qu'il ne supporte pas et qu'il brave, son éternel demi-sourire vissé aux lèvres et dans le regard toute l'arrogance du monde. On se demande encore par quel miracle il est parvenu à intégrer la fac de droit de Berkeley et y obtenir une licence de droit pénal... si, si !
    Toutefois, dès ses premiers pas à la fac, Jackson se découvre un talent pour la manipulation, le stalking, et toutes ces disciplines mal vues par les "gens bien"... On ignore à ce jour par quel biais le jeune homme a pu infiltrer le monde très fermé du crime organisé, ni comment il a réussi à s'y tailler une réputation si rapidement. Mais les faits sont là : à moins de vingt-cinq ans, Jackson était devenu l'un des mercenaires et tueurs à gages les plus courus du marché. Fin gestionnaire, le jeune homme eut l'intelligence de mener en parallèle à ses activités criminelles une vie de golden boy et d'homme d'affaires qui lui permettait de camoufler ses rentrées d'argent en les répartissant sur différents comptes. Il se marie à 19 ans à Las Vegas avec une call-girl du nom de Johanna, vit deux ans avec elle, puis fait une demande de divorce, qu'il n'obtient pas. Ils vivent actuellement séparés, elle à Los Angeles, lui entre différentes villes de Californie et d'ailleurs. Flambeur impénitent pour la galerie, criminel ultra organisé en underground, Jackson a toujours eu la prudence de ne choisir que des contrats qu'il était certain de mener à bien. Une prudence qui lui a longtemps porté chance. Longtemps. Mais pas toujours.
    Avec le recul, Jackson convient volontiers qu'il aurait mieux fait de refuser le contrat Reisert. Un contrat simple en apparence, qui lui a demandé six semaines de préparation minutieuse, qu'il ne regrette d'ailleurs pas le moins du monde. Il pensait avoir tout prévu, les moindres détails, les moindres réactions de la donzelle. L'expérience, malheureusement, lui a prouvé qu'il n'en était rien... Le bilan ? Poignardé à la gorge avec un stylo (c'est quand même assez peu glorieux...) et de surcroît blessé à plusieurs reprises par les balles du père de Lisa, Jackson a été emmené à l'hôpital sous haute surveillance, où il a fait un assez long séjour, avant d'être transféré une fois remis dans une prison fédérale -- le terrorisme étant un délit fédéral. Le transfert ne lui aura guère été bénéfique. Son arrogance et son côté vindicatif ne lui ont pas porté chance dans l'univers carcéral, et son refus de se plier aux règles tacites qui régissent la vie de la prison lui ont valu un passage à tabac en règles, qui a manqué de le laisser sur le carreau.
    Envoyé d'urgence à l'hôpital, une fois encore sous bonne garde, il est opéré dans l'heure d'un hématome extra-dural et souffre d'une forte commotion qui lui vaut plusieurs jours de coma. Lorsqu'enfin il se réveille, Jackson a tout oublié. Il ne se rappelle plus ni son nom, ni ses actes, pas même son âge ou le moindre évènement de sa vie. Pendant quelques jours, sa mémoire est une page blanche où ne subsiste plus aucune trace de son passé, même résiduelle. Et lorsque celle-ci finit par revenir au bout de quatre ou cinq jours, Jackson réalise immédiatement l'avantage qu'il peut tirer de cette amnésie. En effet, s'il a définitivement perdu la mémoire et si ses souvenirs ne "peuvent pas" être réactivés avant son procès, les jurés seront placés face au débat philosophique suivant : puisque Jackson ne garde aucun souvenir de qui il est, n'est-il pas en conséquence en quelque sorte un homme nouveau ? et en tant que tel, peut-il être condamné pour les actes qu'il a commis dans son passé -- qu'un "autre" a commis ? Telle est la carte qu'il décide de jouer... avec succès.
    Acquitté, Jackson est finalement relâché, sous surveillance psychologique et traitement antipsychotique (qu'il s'abstient de prendre), et fortement encouragé à recommencer une nouvelle vie sans chercher à trop en savoir sur l'ancienne. Piochant dans sa fortune personnelle, il part donc s'installer en Virginie, dans une ville ou personne ne viendra le rechercher -- pas même le FBI -- pour y reprendre en toute quiétude ses activités...


Trivia (Détails importants mais trop anecdotiques pour figurer dans la biographie) (facultatif. maximum 6)
  • Jackson est un alcoolique invétéré, quoique distingué. Défoncé tous les soirs au Bushmill's, il a toutefois un bon sens de ses limites, ce qui lui évite généralement de faire n'importe quoi -- son horreur de perdre le contrôle y étant certainement pour beaucoup. Toutefois, il lui arrive de loin en loin de dépasser ses limites...
  • Hétérosexuel on ne peut plus classique, vaguement womanizer sur les bords, Jackson refuse de s'engager dans des relation sérieuses, arguant que le fait de s'attacher est très mauvais pour le business. Relativement bon amant, quoiqu'amateur de rough sex, il n'a heureusement jamais de problème pour avoir quelqu'un dans son lit...


Citations de votre personnages, ou décrivant votre personnage (tirées de la source officielle, et pertinentes pour donner une idée de son physique, de sa personnalité, etc … ) : (5 au minimum)
    from trailer "Sometimes, bad things happen to good people."

    Lisa Reisert: Please, just stop whoever's outside my dad's house!
    Jackson Rippner: I already have, by twice intercepting these little communiques! You know, if they'd have fallen into the hands of a by-the-book stewardess, she'd have gone straight to the cockpit and we'd have landed somewhere else! If that happens, Leese, our guy in the BMW's gonna know about it, so do Dad a favor and stop gambling with his life!

    Jackson Rippner: [smirking darkly at Lisa] That was very clever, Leese. Taking some stress management courses? When we get out of this, I may have to steal you.

    Jackson Rippner: You know what I think? [slams her against the wall] I think you're not such an honest person. Because I've been following you for eight weeks now, and I never once saw you order anything but a fucking Sea Breeze!

    Jackson Rippner: Before you do that you may want to look at this. [Jackson puts an initialed wallet on the airline tray] J.R. Joe Reisert. Your father.
    Lisa Reisert: Where did you get that?
    Jackson Rippner: An associate of mine grabbed it off your dad's desk... I believe it was next to your graduation picture. J.R. his wallet, his initials. But gee, mine too. And for some reason, stewardess, this strange and rather inebriated girl whom I've never met before tonight suddenly went crazy when I took it out of my pocket.

    Jackson Rippner: Lisa, whatever female-driven, emotion-based dilemma you may be dealing with right now, you have my sympathy. But for the sake of time and sanity, let's break this down into a little male-driven fact-based logic. One simple phone call saves your dad's life

    Jackson Rippner: Thanks for the quickie. [to Lisa after he hits her head in the bathroom]

    Lisa Reisert: [on the plane] So what is it you do?
    Jackson Rippner: Government overthrows, flashy high-profile assassinations. The usual.
    Lisa Reisert: O.K. Why don't you just tell me what you do?
    Jackson Rippner: I already did.


Quelles sont les motivations de votre personnage, à son arrivée dans la ville de Redemption ?
    Après sa libération de prison, Jackson avait deux priorités majeures : disparaître des radars, et retrouver ses activités précédentes. La ville de Redemption remplissait toutes les conditions nécessaires pour mener à bien ces deux projets, malgré le revers qu'avait subi sa carrière après son cuisant échec dans l'affaire Reisert. Jackson s'y est installé et empressé d'y asseoir son autorité sur le monde underground de la ville. Son premier achat est un bâtiment qu'il transforme en nightclub. Ce projet, son premier projet solo, il s'y investit à fond, de tout son coeur, et ses efforts portent leurs fruits, puisqu'en quelques semaines le Cloud Nine devient l'un des lieux les plus prisés de Redemption, ainsi que son QG. Assuré d'une rentrée d'argent régulière, grossie par les revenus qu'il touche de ses autres possessions, il s'emploie alors à monter une équipe de mercenaires. Son premier partenaire est une ancienne officier de l'armée Bosniaque, le Commandant Alekseia Iefimovna Tcherniak, parlant le russe mieux que l'anglais, et maniant la kalachnikov et le tokarev ; le second, un des membres de son ancienne équipe, un grand type d'un mètre quatre-vingt-quinze, adepte du matraquage, du Desert Eagle 5.0 et de la portière de voiture en guise d'objet contondant, nommé John Long. En deux ans, il a réussi à remonter une excellente équipe de mercenaires qui, s'ils ne lui sont pas d'une extrême fidélité, ont l'immense avantage de vénérer le dieu Billet Vert...


Exemple de RP (minimum 20 lignes, décrivant l'arrivée de votre personnage à Redemption, où une période clef de son existence s'il est né ici) :
    Calé sur la banquette du lounge VIP de son nouvel établissement, Jackson Rippner alluma une cigarette et esquissa un demi sourire satisfait. Il n'y avait pas un mois qu'il était arrivé sur Redemption, et déjà il avait réussi à s'imposer dans la société underground de la ville. Sa réputation de tueur l'avait précédé, et déjà on lui avait proposé un ou deux contrats intéressants. Il se leva et alla s'accouder à la balustrade de la mezzanine, promenant son regard sur la foule qui se pressait en bas, ondulant au rythme de la musique. Les artistes, sur la scène, enflammaient l'ambiance et les esprits. Johnny, au pied de l'escalier, surveillait qu'aucun débordement ne se produise. Jackson sourit en posant les yeux sur sa nouvelle recrue. Lily. Charmante, fraîche Lily. Une acquisition avisée. Elle avait à elle seule fait augmenter les bénéfices du club de près de 30%. Robbie, qui allait lui succéder dans quelques minutes, était pour lui responsable de presque 50% du succès de l'établissement. Il fallait bien reconnaître que son talent au pole dance était incomparable...
    Jackson était satisfait de la façon dont les choses tournaient. Depuis qu'il était là, il n'avait plus à faire semblant de rien, et menait sa vie comme il l'entendait : avec faste, flamboyance, et une bonne dose d'adrénaline. Il ne demandait pas mieux. Il avait plusieurs business respectables qui lui assuraient une rentrée d'argent quotidienne et une satisfaction jamais démentie, et son activité de tueur à gages n'allait pas tarder à retrouver son ancien standing, au rythme où les choses se déroulaient. Bref, une vie de rêve...
    Jackson recula et vint reprendre sa place sur le canapé. Une rouquine, ronronnante, vint prendre place sur ses genoux et il laissa sa main errer sur sa hanche avec un regard de gourmandise. Tout ce qu'il fallait, où il le fallait. Il posa sa cigarette et descendit une large gorgée de son verre, avant de laisser ses mains partir en exploration de ce charmant territoire inconnu...


Images représentant votre personnage (liens ou miniatures uniquement) :
https://2img.net/h/oi42.tinypic.com/rqxjc4.jpg
https://2img.net/h/oi41.tinypic.com/1emonq.jpg
http://hpics.li/70efbb7
http://hpics.li/488aad7
http://hpics.li/8befbed
http://hpics.li/a27e487

Comment avez-vous connu le forum ? .........
Code du règlement : Check by Captain Jack Harkness
Questions, commentaires, suggestions : no comment

Je certifie avoir plus de quinze ans, avoir pris connaissance du règlement et jure solennellement de le respecter si je ne veux pas mériter un aller simple pour le bureau du Maire. Je joue le personnage de Jackson Rippner par simple plaisir et dans un but non-lucratif, lequel appartient à ses créateurs. S'il m'appartenait, vous croyez vraiment que je viendrais perdre mon temps ici ?
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The Master

The Master


Messages : 8
Date d'inscription : 13/01/2010
Localisation : On your planet, taking over your city.
Emploi/loisirs : See above.
Humeur : Supreme

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MessageSujet: Re: Sometimes bad things happen to good people (UC)   Sometimes bad things happen to good people (UC) Icon_minitimeSam 16 Avr - 16:29

Oh, tiens, un compagnon de jeu ! Sympas, les mercenaires : pas chiants, mais toujours bon pour mettre un peu d'animation quand il le faut - pas si mal, pour des humains. Et surtout, suffisamment d'intelligence pour savoir ce qu'il vaut mieux éviter de faire pour rester en vie, n'est-ce pas ? Bon séjour dans ma ville, Mr Rippner ...
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